Dans un archipel comme le Japon, le bateau a toujours été placé au centre de la vie quotidienne comme de l’imaginaire collectif. L’œuvre d’Armand Pâris constitue un témoignage exceptionnel de la marine japonaise de la fin d’Edo (1600-1868), avant une période de profonds bouleversements techniques et culturels.
« La ville [Osaka] est sillonnée d’une multitude de canaux qui constituent, comme à Venise et dans la plupart des villes chinoises, autant de voies de communication, où des milliers de bateaux plats, longs et étroits se croisent incessamment : les uns ont une cabane au milieu et sont relevés par devant ; ils sont destinés aux passagers et remplacent avantageusement les voitures […]. »
Armand PÂRIS (1843-1873)
Dans un archipel comme le Japon, le bateau a toujours été placé au centre de la vie quotidienne comme de l’imaginaire collectif. L’œuvre d’Armand Pâris constitue un témoignage exceptionnel de la marine japonaise de la fin d’Edo (1600-1868), avant une période de profonds bouleversements techniques et culturels.
« La ville [Osaka] est sillonnée d’une multitude de canaux qui constituent, comme à Venise et dans la plupart des villes chinoises, autant de voies de communication, où des milliers de bateaux plats, longs et étroits se croisent incessamment : les uns ont une cabane au milieu et sont relevés par devant ; ils sont destinés aux passagers et remplacent avantageusement les voitures […]. »
Armand PÂRIS (1843-1873)