Ce type de pirogue monoxyle était utilisé pour la pêche en rivière ou en eaux calmes. Moins élaborées dans leur conception que les pirogues de guerre, elles ne comportaient pas de fargues surélevant la coque, ni de décor.
« C’est surtout dans les grandes pirogues de guerre que les Nouveaux Zélandais se plaisent à déployer tout leur luxe de sculpture […]. Mais ces belles embarcations deviennent tous les jours plus rares, surtout dans les ports que fréquentent les Européens, où l’on ne trouve que des troncs d’arbres creusés, comme celui de la baie Shouraki : le fond est garni de claies mal faites, reposant sur de longues baguettes fixées de chaque côté par des attaches passées dans des parties saillantes conservées dans le bois, et le manque de bancs force les naturels à s’asseoir sur ces claies, ce qui les gêne pour pagayer. »
François-Edmond PÂRIS (1806-1893)
Ce type de pirogue monoxyle était utilisé pour la pêche en rivière ou en eaux calmes. Moins élaborées dans leur conception que les pirogues de guerre, elles ne comportaient pas de fargues surélevant la coque, ni de décor.
« C’est surtout dans les grandes pirogues de guerre que les Nouveaux Zélandais se plaisent à déployer tout leur luxe de sculpture […]. Mais ces belles embarcations deviennent tous les jours plus rares, surtout dans les ports que fréquentent les Européens, où l’on ne trouve que des troncs d’arbres creusés, comme celui de la baie Shouraki : le fond est garni de claies mal faites, reposant sur de longues baguettes fixées de chaque côté par des attaches passées dans des parties saillantes conservées dans le bois, et le manque de bancs force les naturels à s’asseoir sur ces claies, ce qui les gêne pour pagayer. »
François-Edmond PÂRIS (1806-1893)