Pâris a fait une brève escale à la pointe sud de la Nouvelle-Irlande : il n’y a documenté que ce type de pirogue de mer à balancier, longue et très étroite, que l’on retrouvait aussi en Nouvelle-Bretagne, très proche. La coque peinte en blanc possédait une forme élégante, et se terminait par de hautes pointes recourbées servant de protection contre les vagues. Les pagaies étaient peintes de motifs aux couleurs vives. Les attaches du balancier se terminaient par des branchages, laissés entiers probablement pour des raisons esthétiques.
« Leurs pirogues, d’un travail très soigné, sont ce qu’ils font de plus remarquable […] formée d’une seule pièce étroite et creuse, travaillée avec soin […]. Tout le corps est soigneusement peint en blanc avec une sorte de chaux composée de coquilles brisées […]. Le balancier, léger et pointu à ses extrémités, est presque aussi long que la pirogue […]. »
François-Edmond PÂRIS (1806-1893)
Pâris a fait une brève escale à la pointe sud de la Nouvelle-Irlande : il n’y a documenté que ce type de pirogue de mer à balancier, longue et très étroite, que l’on retrouvait aussi en Nouvelle-Bretagne, très proche. La coque peinte en blanc possédait une forme élégante, et se terminait par de hautes pointes recourbées servant de protection contre les vagues. Les pagaies étaient peintes de motifs aux couleurs vives. Les attaches du balancier se terminaient par des branchages, laissés entiers probablement pour des raisons esthétiques.
« Leurs pirogues, d’un travail très soigné, sont ce qu’ils font de plus remarquable […] formée d’une seule pièce étroite et creuse, travaillée avec soin […]. Tout le corps est soigneusement peint en blanc avec une sorte de chaux composée de coquilles brisées […]. Le balancier, léger et pointu à ses extrémités, est presque aussi long que la pirogue […]. »
François-Edmond PÂRIS (1806-1893)